De quoi parle-t-on quand on parle de climatisation gainable ?

De 1920 à aujourd’hui, la climatisation s’est grandement développée. On la retrouve aujourd’hui dans les cinémas, dans les grands immeubles, mais aussi dans les maisons des particuliers. En effet, que ce soit chez soi, dans la voiture, au bureau, etc. notre  confort de vie dépend entièrement de la climatisation. Tout comme le smartphone ou encore la télévision, la climatisation est devenue un bien de consommation pour notre bien-être. Avec le temps, le système de climatisation s’est développé. Les dispositifs bruyants et énergivores ont laissé leur place à des climatiseurs silencieux, respectueux de l’environnement et à la pointe de la technologie. Et en ce qui concerne la performance, les nouveaux modèles n’ont rien à envier aux anciens modèles. Parmi les systèmes de climatisation proposés sur le marché, il y a la climatisation gainable. Mais qu’est-ce qu’on entend par climatisation gainable ? Comment fonctionne-t-elle ? Et quels sont ses avantages ? Vous en saurez davantage en lisant cet article.

La climatisation gainable : qu’est-ce que c’est ?

Parmi les systèmes de climatisation proposés sur le marché, la climatisation gainable est sans nul doute celle qui est la plus discrète. Contrairement à une climatisation mobile ou fixe, elle passe inaperçue dans les intérieurs. Quand on parle de climatisation gainable, on ne parle pas de climatisation bloc très imposant ou split. C’est plus un bloc qui se dissimule avec facilité dans un faux plafond ou dans les combles. Elle ne laisse apparaitre que quelques grilles de ventilation. La climatisation gainable est un système hyper silencieux et centralisé. Elle diffuse de l’air chaud ou de l’air froid jusqu’aux bouches de soufflage. Et ce, via des réseaux de gaines bien cachés. Maintenant, la question est de savoir comment fonctionne une climatisation gainable. Eh bien, le fonctionnement d’une climatisation gainable ressemble à celui d’une PAC air/air (pompe à chaleur). Elle récupère toutes les calories présentes dans l’air chaud. Ensuite, elle s’en sert pour rafraîchir l’air intérieur. Pour ce qui est de la chaleur, elle est rejetée vers l’extérieur. Le système de climatisation gainable est composé d’une unité extérieure. A l’intérieur de cette dernière se trouvent tous les éléments nécessaires pour faire fonctionner le climatiseur : détendeur, condenseur et compresseur. Elle est reliée au dispositif intérieur via un circuit frigorifique. Contrairement aux climatiseurs types multi split, la climatisation gainable ne possède pas plusieurs unités intérieures. Toutefois, elle possède plusieurs sorties qui distribuent l’air par l’intermédiaire d’un réseau. Dans un système de climatisation gainable, il y a ce qu’on appelle grilles de reprise qui se chargent de récupérer et recycler l’air ambiant. Il y a également les grilles de soufflage qui ont pour rôle de diffuser l’air.

Les avantages d’une climatisation gainable

climatiseur gainable
Crédits : Pixabay

Avant de lister les avantages que présente l’utilisation de la climatisation gainable, on va d’abord parler de son prix, comment la choisir, etc. Il faut noter que la climatisation gainable est plus chère par rapport aux climatiseurs classiques. En effet, le budget minimum à prévoir est de 3 000 euros. Et selon la performance, l’espace à couvrir, le nombre d’ouvrants, la marque, le système de pilotage et les options de la climatisation, le prix peut grimper jusqu’à 15 000 euros. Pour avoir une estimation du prix, il faut compter entre 150 et 200 euros le m². Cela inclut les frais d’installation. Après le prix, place aux paramètres à prendre en compte pour choisir la bonne climatisation gainable. Parmi ces derniers, il y a le niveau sonore, le type de commande, le contrôle de zone, le système de régulation  et enfin, le débit d’air et le COP (coefficient de performance). Tout comme les autres systèmes de climatisation proposés sur le marché, la climatisation gainable a ses avantages et ses inconvénients. Côté avantage, c’est sa discrétion et son esthétique qui la différencient. Ensuite, elle est silencieuse et respectueuse de l’environnement. Elle possède également une fonction 2 en 1 : chauffage et rafraichissant. Le petit souci, c’est que son installation nécessite de posséder des faux plafonds ou des combles assez spacieux. Son prix est également plus cher et elle est difficile à entretenir. En général, son installation nécessite l’intervention d’un professionnel. Il est même conseillé de faire appel à ce dernier avant de procéder à l’achat. Il pourra faire le bilan thermique de la maison, faire les travaux d’isolation, etc.

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Professeur de mathématiques le jour, passeur de révolution numérique la nuit, j’orchestre deux passions héritées de mes années lycée : la beauté abstraite des équations et le bouillonnement permanent de la high‑tech. Racines & parcours académique Je suis né à Aix‑en‑Provence en 1994 – entre cigales et circuits imprimés. À 12 ans, je montais déjà mon premier PC sous Linux ; à 17 ans, je décrochais l’argent aux Olympiades nationales de maths. Prépa MP* au lycée Thiers, Marseille ENS Lyon : agrégation de maths et découverte de l’optimisation combinatoire Doctorat (AMU · Centrale / I2M) : « Topologies tropicales pour l’apprentissage profond », où je mêle théorie des graphes et réseaux de neurones Depuis 2021, j’enseigne à l’Université d’Aix‑Marseille, en semant des projets open‑source et des hackathons étudiants partout où je passe. Mon blog : « Pixels & Preuves » Lancé en 2018 pour « débroussailler le flux info », j’y publie deux chroniques hebdo : Flash Tech – un décryptage rapide de l’actu : IA générative, réalité mixte, cybersécurité… Le Théorème du Vendredi – un billet long qui relie une notion mathématique à un enjeu numérique concret (par ex. courbes elliptiques & cryptomonnaies). Ce que j’adore explorer Algorithmes transparents & éthique de l’IA Hardware low‑power : RISC‑V, micro‑contrôleurs « green » Souveraineté numérique européenne (cloud de confiance, RGPD, open‑source public) Sciences des données urbaines : modéliser flux maritimes et tourisme dans le port phocéen Quantum computing vulgarisé : portes logiques ≠ oracles mystiques Mon ton & mon style J’écris comme j’enseigne : Pédagogue mais jamais condescendant – chaque article propose un niveau 0 (TL;DR) puis un niveau π (preuve ou démo simplifiée). Humour d’amphi – clins d’œil à Star Wars et à la pétanque locale. Sources chiffrées & liens GitHub – la rigueur académique n’exclut pas la liberté du blogueur. Engagements & projets parallèles Mentor bénévole au Fablab « La Fabulerie » (imprimantes 3D pour lycéens) Podcast mensuel « Ondes de Choc(k) » sur les maths cachées dans nos apps quotidiennes Initiateur du challenge #ZeroBugBounty : documenter publiquement chaque faille corrigée sur mon blog Hors‑clavier Quand je lâche mon clavier mécanique : Trail dans les Calanques avec mon fidèle GPS open‑source Impro jazz à la trompette – parce que les suites de Fibonacci swinguent aussi Collectionneur d’affiches rétro‑SF : l’avenir se rêvait déjà hier Pourquoi me suivre ? Pour la même raison qu’on ouvre un bon manuel de maths : on y trouve des preuves élégantes… avant de réaliser qu’elles éclairent notre quotidien connecté. Chez moi, chaque paragraphe pose une équation ; chaque solution ouvre une porte vers la tech de demain.

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