Mettre sa voiture à la casse, comment ça fonctionne ?

Si les diamants sont éternels, il n’en va pas de même pour nos vies, ou notre véhicule. En France, la mise à la casse d’une voiture est soumise à une réglementation stricte. Il en va de même pour les motos et tout autre engin immatriculé. Il faut suivre la « procédure VHU « . Cette dernière peut également être obligatoire après un accident de voiture, lorsque les experts classent le véhicule comme  » véhicule gravement endommagé « . En quoi consiste la procédure VHU ? Où la faire ? Quels sont les documents nécessaires ? Combien ça coûte ? Cet article vous dira tout ce que vous devez savoir sur la procédure de mise à la casse d’une voiture.

Que peut-on faire avec une voiture qui ne peut plus rouler ?

Il faut savoir qu’en France, il est interdit de garder un véhicule dans le but de revendre ses pièces. En revanche, il est possible de conserver une voiture retirée de la circulation, afin de réutiliser ses pièces à son propre profit, comme par exemple pour réparer une voiture similaire que l’on possède. Il est aussi interdit de vendre à un particulier un véhicule hors d’usage pour qu’il récupère les pièces utilisables. En effet, pour pouvoir vendre une voiture, il faut un certificat d’immatriculation, ce que l’on ne peut évidemment pas obtenir lorsque la voiture ne roule pas. Toutefois, il est possible de vendre une voiture immobilisée à un professionnel au lieu de la mettre à la casse parce que le contrôle technique n’est pas obligatoire lorsqu’on vend une voiture à un garagiste ou à un concessionnaire. Si vous choisissez cette option pour vous débarrasser de votre véhicule hors d’usage, vous devez simplement suivre la procédure standard de transfert de propriétaire. Après avoir signé le « certificat de cession », il ne faut pas oublier de déclarer le transfert.

Mettre une voiture à la casse

Comment mettre sa voiture à la casse ? La première étape pour mettre une voiture à la casse est de contacter un centre agréé VHU. D’un point de vue administratif, il s’agit essentiellement d’une procédure simplifiée de transfert de propriété. Le « repreneur » étant le centre. Les documents suivants doivent être présentés :

–        Carte grise originale barrée avec la mention « cédé le (jour / mois / année) pour destruction ».

–        Certificat de cession, sur lequel la case indiquant que le véhicule est cédé à un centre VHU pour destruction devra être cochée.

–        Un certificat de situation administrative datant de moins de 15 jours.

Combien coûte la mise à la casse d’une voiture ?

Selon la loi, les centres VHU ne peuvent pas facturer de frais pour la mise à la casse de vieux véhicules. Il existe cependant 2 exceptions à cette règle :

–        Remorquage : le centre VHU peut facturer des frais si la voiture doit être remorquée jusqu’à ses locaux.

–        Les véhicules transformés : si le véhicule contient des composants non homologués ou des déchets qui doivent faire l’objet d’un traitement spécifique, des frais peuvent être facturés.

Si vous êtes confronté à l’une de ces situations ci-dessus, n’hésitez pas à demander un devis dans plusieurs centres pour payer le moins possible.

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Professeur de mathématiques le jour, passeur de révolution numérique la nuit, j’orchestre deux passions héritées de mes années lycée : la beauté abstraite des équations et le bouillonnement permanent de la high‑tech. Racines & parcours académique Je suis né à Aix‑en‑Provence en 1994 – entre cigales et circuits imprimés. À 12 ans, je montais déjà mon premier PC sous Linux ; à 17 ans, je décrochais l’argent aux Olympiades nationales de maths. Prépa MP* au lycée Thiers, Marseille ENS Lyon : agrégation de maths et découverte de l’optimisation combinatoire Doctorat (AMU · Centrale / I2M) : « Topologies tropicales pour l’apprentissage profond », où je mêle théorie des graphes et réseaux de neurones Depuis 2021, j’enseigne à l’Université d’Aix‑Marseille, en semant des projets open‑source et des hackathons étudiants partout où je passe. Mon blog : « Pixels & Preuves » Lancé en 2018 pour « débroussailler le flux info », j’y publie deux chroniques hebdo : Flash Tech – un décryptage rapide de l’actu : IA générative, réalité mixte, cybersécurité… Le Théorème du Vendredi – un billet long qui relie une notion mathématique à un enjeu numérique concret (par ex. courbes elliptiques & cryptomonnaies). Ce que j’adore explorer Algorithmes transparents & éthique de l’IA Hardware low‑power : RISC‑V, micro‑contrôleurs « green » Souveraineté numérique européenne (cloud de confiance, RGPD, open‑source public) Sciences des données urbaines : modéliser flux maritimes et tourisme dans le port phocéen Quantum computing vulgarisé : portes logiques ≠ oracles mystiques Mon ton & mon style J’écris comme j’enseigne : Pédagogue mais jamais condescendant – chaque article propose un niveau 0 (TL;DR) puis un niveau π (preuve ou démo simplifiée). Humour d’amphi – clins d’œil à Star Wars et à la pétanque locale. Sources chiffrées & liens GitHub – la rigueur académique n’exclut pas la liberté du blogueur. Engagements & projets parallèles Mentor bénévole au Fablab « La Fabulerie » (imprimantes 3D pour lycéens) Podcast mensuel « Ondes de Choc(k) » sur les maths cachées dans nos apps quotidiennes Initiateur du challenge #ZeroBugBounty : documenter publiquement chaque faille corrigée sur mon blog Hors‑clavier Quand je lâche mon clavier mécanique : Trail dans les Calanques avec mon fidèle GPS open‑source Impro jazz à la trompette – parce que les suites de Fibonacci swinguent aussi Collectionneur d’affiches rétro‑SF : l’avenir se rêvait déjà hier Pourquoi me suivre ? Pour la même raison qu’on ouvre un bon manuel de maths : on y trouve des preuves élégantes… avant de réaliser qu’elles éclairent notre quotidien connecté. Chez moi, chaque paragraphe pose une équation ; chaque solution ouvre une porte vers la tech de demain.

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