Addiction au smartphone, comment la réduire ?

Le fléau qui touche notre société actuelle est l’addiction au smartphone. Cela concerne beaucoup de personnes pour preuve, plus de 61 % des Français affirment être incapables de vivre sans leur téléphone portable. C’est le résultat d’une étude que Bouygues Télécom a réalisée l’année 2018. Si vous êtes concerné par cette situation, ce n’est pas une fatalité, car il existe bel et bien des aides pour vous débarrasser de cette addiction.

Déceler une addiction au smartphone

Nombreuses sont les personnes qui ne se rendent pas compte qu’elles sont addictes à leur téléphone portable. Mais certains signes ne trompent pas. Il y a par exemple les crampes aux doigts, les yeux secs, les sueurs froides rien qu’à l’idée de perdre cet objet… L’addiction au smartphone est aussi confirmée par la vérification trop régulière des mails, l’attente avec impatience des messages, le check des réseaux sociaux… On est tout le temps connecté, et on ne peut pas se détacher de notre téléphone mobile. Toutefois, cela a des impacts sur la vie personnelle. Parmi les conséquences de l’addiction au smartphone, il y a les troubles du sommeil, l’isolement social, problème de concentration, manque d’attention… Davantage d’informations sur le sujet sur https://www.ciamt.org/.

Réduire l’addiction au téléphone portable

Le smartphone, loin de la chambre: Pour réduire l’addiction au smartphone, on ne l’emmène plus dans la chambre à coucher. En plus de décrocher de cet appareil un moment, on évite les effets néfastes de la lumière bleue des écrans sur notre santé. Dans le même volet, on l’éteint également. En effet, quand il est allumé, on risque d’être perturbé s’il sonne ou s’il y a des notifications pendant la nuit.
L’écran en mode noir et blanc: Certains téléphones mobiles ont une fonctionnalité permettant de changer la couleur de l’écran en noir et blanc. Cela permet de rendre le smartphone moins attractif, et donc, de limiter son usage. En effet, les fabricants se rivalisent d’imagination pour rendre leurs produits beaux et designs. Si le téléphone portable n’est pas si attrayant, on n’a pas envie de le regarder.
Un temps d’écran: Sur les téléphones modernes, il y a une fonctionnalité qui permet de suivre le temps passé sur l’écran. On peut même déterminer la durée d’utilisation et d’activation des notifications. Au début, on recommande de définir un délai réaliste par rapport à l’usage habituel et de réduire petit à petit. Sinon, on se fixe des objectifs quant à l’utilisation de notre smartphone.

Nos autres conseils dans la lutte contre l’addiction au smartphone

smartphone addiction — Crédits : Pixabay

Pour diminuer l’addiction au smartphone, on désactive les notifications afin que l’on ne soit plus distrait ou tenté d’ouvrir notre appareil. Aussi, on prend l’habitude de ne plus répondre aux mails depuis notre téléphone portable. On pense également à remplacer cette mauvaise habitude par une bonne. Quand on a envie de toucher notre smartphone, on trouve autre chose à faire comme lire un bouquin, regarder une série, jouer avec notre animal de compagnie… Notre dernier conseil est de ne pas se servir de cet appareil comme réveil, car cela implique de l’utiliser dès le début de la journée, d’exposer les yeux à la lumière bleue.

Maxime

Professeur de mathématiques le jour, passeur de révolution numérique la nuit, j’orchestre deux passions héritées de mes années lycée : la beauté abstraite des équations et le bouillonnement permanent de la high‑tech. Racines & parcours académique Je suis né à Aix‑en‑Provence en 1994 – entre cigales et circuits imprimés. À 12 ans, je montais déjà mon premier PC sous Linux ; à 17 ans, je décrochais l’argent aux Olympiades nationales de maths. Prépa MP* au lycée Thiers, Marseille ENS Lyon : agrégation de maths et découverte de l’optimisation combinatoire Doctorat (AMU · Centrale / I2M) : « Topologies tropicales pour l’apprentissage profond », où je mêle théorie des graphes et réseaux de neurones Depuis 2021, j’enseigne à l’Université d’Aix‑Marseille, en semant des projets open‑source et des hackathons étudiants partout où je passe. Mon blog : « Pixels & Preuves » Lancé en 2018 pour « débroussailler le flux info », j’y publie deux chroniques hebdo : Flash Tech – un décryptage rapide de l’actu : IA générative, réalité mixte, cybersécurité… Le Théorème du Vendredi – un billet long qui relie une notion mathématique à un enjeu numérique concret (par ex. courbes elliptiques & cryptomonnaies). Ce que j’adore explorer Algorithmes transparents & éthique de l’IA Hardware low‑power : RISC‑V, micro‑contrôleurs « green » Souveraineté numérique européenne (cloud de confiance, RGPD, open‑source public) Sciences des données urbaines : modéliser flux maritimes et tourisme dans le port phocéen Quantum computing vulgarisé : portes logiques ≠ oracles mystiques Mon ton & mon style J’écris comme j’enseigne : Pédagogue mais jamais condescendant – chaque article propose un niveau 0 (TL;DR) puis un niveau π (preuve ou démo simplifiée). Humour d’amphi – clins d’œil à Star Wars et à la pétanque locale. Sources chiffrées & liens GitHub – la rigueur académique n’exclut pas la liberté du blogueur. Engagements & projets parallèles Mentor bénévole au Fablab « La Fabulerie » (imprimantes 3D pour lycéens) Podcast mensuel « Ondes de Choc(k) » sur les maths cachées dans nos apps quotidiennes Initiateur du challenge #ZeroBugBounty : documenter publiquement chaque faille corrigée sur mon blog Hors‑clavier Quand je lâche mon clavier mécanique : Trail dans les Calanques avec mon fidèle GPS open‑source Impro jazz à la trompette – parce que les suites de Fibonacci swinguent aussi Collectionneur d’affiches rétro‑SF : l’avenir se rêvait déjà hier Pourquoi me suivre ? Pour la même raison qu’on ouvre un bon manuel de maths : on y trouve des preuves élégantes… avant de réaliser qu’elles éclairent notre quotidien connecté. Chez moi, chaque paragraphe pose une équation ; chaque solution ouvre une porte vers la tech de demain.