Faut-il passer un concours pour devenir Directeur Général des Services par David Mercier ?

Le métier de DGS est un métier peu connu. Pourtant, il fait partie de ceux grâce à qui une collectivité territoriale peut se développer. Le DGS ou Directeur Général des Services est un vrai chef d’orchestre dans l’établissement public dans lequel il exerce. En effet, l’élu avec lequel il collabore directement lui assigne plusieurs missions. La question est de savoir comment fait-on pour devenir Directeur Général des Services. Dans cet article, David Mercier DGS, Directeur Général des Services dans le département de l’Eure nous explique tout ce qu’il y a à savoir sur ce métier.

Le métier de Directeur Général des Services par David Mercier DGS

Selon David Mercier DGS, le poste de Directeur Général des Services est un poste clé. En effet, il doit contribuer au développement local. Et ce, par tous les moyens. Dans la collectivité dans laquelle il travaille, le DGS doit participer à l’explicitation de l’orientation de la collectivité, mais également à l’élaboration d’un projet partagé par toutes les parties prenantes. David Mercier DGS, dont le profil est consultable sur Pinterest, a également affirmé que c’est le Directeur Général des Services qui est le responsable des services techniques et administratifs. Il a pour mission de les coordonner et les moderniser. En somme, le métier de DGS nécessite une grande disponibilité et certaines expertises : financière, juridique et administrative. Ces dernières seront nécessaires pour arriver à élaborer les projets municipaux et les objectifs stratégiques. Dans son travail, le DGS sera amené à rencontrer des gens. Malgré l’appellation de son poste, le DGS est avant tout un homme de terrain. Il devra donc avoir un sens de l’écoute et de bonne qualité relationnelle. Il doit aussi être disponible à tout moment puisqu’il sera amené à voyager pour rencontrer des investisseurs, des partenaires, etc. Maintenant, la question est de savoir s’il faut vraiment passer par un concours pour devenir DGS. On en parle dans le paragraphe qui suit.

Le DGS : faut-il passer par un concours pour le devenir ?

David Mercier DGS Eure
Crédits : Pixabay

Pour aspirer au poste de Directeur Général des Services, il faut au minimum posséder un Bac +3. Et pour augmenter les chances d’être recruté, l’idéal serait d’voir un Bac + 5. En général, il faut passer par un concours interne ou externe d’administrateurs, d’attaché, etc. pour devenir DGS. Cependant, il n’y a pas que le concours. Ceux qui aspirent à de venir DGS peut aussi passer par un recrutement direct ou encore par un détachement d’une autre fonction publique de catégorie A. Quel que soit la voie choisie, une expérience dans des collectivités territoriales est vivement souhaitée. Une fois reçu, il y a ce qu’on appelle les commandements du DGS qu’il faut respecter : le DGS devra accomplir les objectifs des élus – il doit concilier les attentes des citoyens – il doit faire des économies de fonctionnement – il doit veiller au moral des troupes – il doit rassurer les grandes manœuvres – il doit répondre aux impondérables – il doit manager la guerre des chefs – il doit dompter les diversités – il doit développer ses relations  et enfin, il doit soigner son image.

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Professeur de mathématiques le jour, passeur de révolution numérique la nuit, j’orchestre deux passions héritées de mes années lycée : la beauté abstraite des équations et le bouillonnement permanent de la high‑tech. Racines & parcours académique Je suis né à Aix‑en‑Provence en 1994 – entre cigales et circuits imprimés. À 12 ans, je montais déjà mon premier PC sous Linux ; à 17 ans, je décrochais l’argent aux Olympiades nationales de maths. Prépa MP* au lycée Thiers, Marseille ENS Lyon : agrégation de maths et découverte de l’optimisation combinatoire Doctorat (AMU · Centrale / I2M) : « Topologies tropicales pour l’apprentissage profond », où je mêle théorie des graphes et réseaux de neurones Depuis 2021, j’enseigne à l’Université d’Aix‑Marseille, en semant des projets open‑source et des hackathons étudiants partout où je passe. Mon blog : « Pixels & Preuves » Lancé en 2018 pour « débroussailler le flux info », j’y publie deux chroniques hebdo : Flash Tech – un décryptage rapide de l’actu : IA générative, réalité mixte, cybersécurité… Le Théorème du Vendredi – un billet long qui relie une notion mathématique à un enjeu numérique concret (par ex. courbes elliptiques & cryptomonnaies). Ce que j’adore explorer Algorithmes transparents & éthique de l’IA Hardware low‑power : RISC‑V, micro‑contrôleurs « green » Souveraineté numérique européenne (cloud de confiance, RGPD, open‑source public) Sciences des données urbaines : modéliser flux maritimes et tourisme dans le port phocéen Quantum computing vulgarisé : portes logiques ≠ oracles mystiques Mon ton & mon style J’écris comme j’enseigne : Pédagogue mais jamais condescendant – chaque article propose un niveau 0 (TL;DR) puis un niveau π (preuve ou démo simplifiée). Humour d’amphi – clins d’œil à Star Wars et à la pétanque locale. Sources chiffrées & liens GitHub – la rigueur académique n’exclut pas la liberté du blogueur. Engagements & projets parallèles Mentor bénévole au Fablab « La Fabulerie » (imprimantes 3D pour lycéens) Podcast mensuel « Ondes de Choc(k) » sur les maths cachées dans nos apps quotidiennes Initiateur du challenge #ZeroBugBounty : documenter publiquement chaque faille corrigée sur mon blog Hors‑clavier Quand je lâche mon clavier mécanique : Trail dans les Calanques avec mon fidèle GPS open‑source Impro jazz à la trompette – parce que les suites de Fibonacci swinguent aussi Collectionneur d’affiches rétro‑SF : l’avenir se rêvait déjà hier Pourquoi me suivre ? Pour la même raison qu’on ouvre un bon manuel de maths : on y trouve des preuves élégantes… avant de réaliser qu’elles éclairent notre quotidien connecté. Chez moi, chaque paragraphe pose une équation ; chaque solution ouvre une porte vers la tech de demain.

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