Quel métal choisir pour une bague de fiançailles ?

Après avoir choisi la pierre qui surmontera la bague, on se focalise maintenant sur le type de métal. Si c’est pour une bague de fiançailles, la plupart des femmes préfèrent l’or ou encore le platine qui est aussi très résistant. Il existe aussi une petite minorité qui apprécie l’argent. Lors du choix du métal, il est important de prendre en compte les goûts de la personne qui portera l’anneau. Si on achète la bague sans elle, il faut lui demander quel type de métal elle préfère le plus. Dans cet article, on va apprendre quel type de métal choisir pour une bague de fiançailles.

La bague de fiançailles : quel métal choisir ?

La bague de fiançailles en or

Dans la plupart des bijouteries, les bagues de fiançailles sont en or. En effet, ce dernier est le métal précieux par excellence. On utilise l’or depuis la nuit des temps pour fabriquer des bijoux. Avec sa belle couleur jaune vif, l’or est privilégié dans toutes les bijouteries. Cela est en grande partie dû au fait qu’il ne s’oxyde pas. Mou, ce métal est également facile à travailler. Cependant, il faut savoir que l’or 24 carats est trop malléable. C’est la raison pour laquelle il n’est pas utilisé par les bijouteries. Pour en savoir davantage sur les taux d’alliage pour l’or, rendez-vous sur ce site de bijouterie à Paris. Parmi les métaux utilisés pour fabriquer la bague de fiançailles, l’or est le plus apprécié. Et en matière d’or, les clients ont encore le choix entre l’or jaune et l’or blanc.

La bague de fiançailles en platine

Parmi les métaux utilisés pour la fabrication de bague de fiançailles, le platine est aussi très apprécié pour sa résistance. À noter que le platine est un métal de luxe. C’est la grande maison Cartier qui a introduit ce dernier dans le monde de la bijouterie dans les années 1900. À cette époque-là, le platine avait plus de valeur par rapport à l’or. Ce qui fait du platine une meilleure alternative à l’or, c’est qu’il possède des qualités nobles. Et le fait qu’il est plus malléable le rend facile à travailler. Contrairement à l’or blanc qui peut jaunir au fil du temps, le platine ne change jamais de couleur. Pour ceux qui n’apprécient pas l’or, le platine est donc le meilleur choix.

La bague de fiançailles en argent

bague en or
crédits : pixabay

Moins cher que les deux autres, l’argent est aussi utilisé dans la fabrication de bague de fiançailles. Certes, il n’est pas très luxe par rapport à l’or et le platine. Mais s’il est bien travaillé, l’argent est un métal très intéressant. Pour lui donner de la valeur, la plupart des clients choisissent de surmonter la bague en argent avec une pierre précieuse très chère (ex ; diamant, rubis, saphir bleue…). Lors de l’achat de la bague, il faut prendre en compte le type de métal. Si la personne qui la portera n’aime pas les couleurs voyantes, il faut privilégier l’or blanc, le platine ou l’argent et le diamant en guise de pierre.

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Professeur de mathématiques le jour, passeur de révolution numérique la nuit, j’orchestre deux passions héritées de mes années lycée : la beauté abstraite des équations et le bouillonnement permanent de la high‑tech. Racines & parcours académique Je suis né à Aix‑en‑Provence en 1994 – entre cigales et circuits imprimés. À 12 ans, je montais déjà mon premier PC sous Linux ; à 17 ans, je décrochais l’argent aux Olympiades nationales de maths. Prépa MP* au lycée Thiers, Marseille ENS Lyon : agrégation de maths et découverte de l’optimisation combinatoire Doctorat (AMU · Centrale / I2M) : « Topologies tropicales pour l’apprentissage profond », où je mêle théorie des graphes et réseaux de neurones Depuis 2021, j’enseigne à l’Université d’Aix‑Marseille, en semant des projets open‑source et des hackathons étudiants partout où je passe. Mon blog : « Pixels & Preuves » Lancé en 2018 pour « débroussailler le flux info », j’y publie deux chroniques hebdo : Flash Tech – un décryptage rapide de l’actu : IA générative, réalité mixte, cybersécurité… Le Théorème du Vendredi – un billet long qui relie une notion mathématique à un enjeu numérique concret (par ex. courbes elliptiques & cryptomonnaies). Ce que j’adore explorer Algorithmes transparents & éthique de l’IA Hardware low‑power : RISC‑V, micro‑contrôleurs « green » Souveraineté numérique européenne (cloud de confiance, RGPD, open‑source public) Sciences des données urbaines : modéliser flux maritimes et tourisme dans le port phocéen Quantum computing vulgarisé : portes logiques ≠ oracles mystiques Mon ton & mon style J’écris comme j’enseigne : Pédagogue mais jamais condescendant – chaque article propose un niveau 0 (TL;DR) puis un niveau π (preuve ou démo simplifiée). Humour d’amphi – clins d’œil à Star Wars et à la pétanque locale. Sources chiffrées & liens GitHub – la rigueur académique n’exclut pas la liberté du blogueur. Engagements & projets parallèles Mentor bénévole au Fablab « La Fabulerie » (imprimantes 3D pour lycéens) Podcast mensuel « Ondes de Choc(k) » sur les maths cachées dans nos apps quotidiennes Initiateur du challenge #ZeroBugBounty : documenter publiquement chaque faille corrigée sur mon blog Hors‑clavier Quand je lâche mon clavier mécanique : Trail dans les Calanques avec mon fidèle GPS open‑source Impro jazz à la trompette – parce que les suites de Fibonacci swinguent aussi Collectionneur d’affiches rétro‑SF : l’avenir se rêvait déjà hier Pourquoi me suivre ? Pour la même raison qu’on ouvre un bon manuel de maths : on y trouve des preuves élégantes… avant de réaliser qu’elles éclairent notre quotidien connecté. Chez moi, chaque paragraphe pose une équation ; chaque solution ouvre une porte vers la tech de demain.

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